A une exception obligée, nulle part dans mon site ne figure le mot « trouble » pourtant très tendance
(troubles de l’alimentation, troubles de l’affirmation de soi…). Je ne l’utilise que parcimonieusement, par effet de mode ou par trébuchement de la parole. En fait se positionner du côté du trouble revient à poser un point final. En se positionnant du côté du symptôme, par éthique et par conviction, le psychanalyste fait le choix du point d’interrogation ou des points de suspension ouvrant ainsi à l’analysant la voie / voix à toutes les interprétations.
De briques et de blog